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    En quoi ressemblez-vous à Jack Bauer?

    Je peux vous dire ce que j'aime vraiment à propos de Jack Bauer – mais dire que j'ai des choses en commun avec lui serait maladroit. La seule chose que j'aime à propos de Jack Bauer est son intégrité. Je pense qu'il a une boussole morale sans compromis. Même dans les circonstances les plus horribles, il se sacrifie pour ce qu'il pense être juste. Et c'est quelque chose que j'admire chez les gens et ce que je souhaite être.


    Combien de temps voulez-vous jouer Jack Bauer?

    Je pense qu’il serait embarrassant de voir Jack Bauer avec une canne. Je me concentre sur cette saison comme étant la dernière. C'est merveilleux comme un acteur de se préparer à ça. Mais c’est aussi très triste, et j'ai déjà vécu cela une fois. Mais cette saison été une expérience incroyable


    Qu'aimez-vous dans le tournage en Angleterre?

    C’est le fait que l'Angleterre était vraiment responsable de la réussite initiale de 24. Il nous a fallu une demi-saison pour conquérir le public américain, alors qu'en Angleterre ça a été un succès dès le début, et je pense que c'est une des raisons pour lesquelles nous avons pu continuer (à faire la saison 1) Je pense que c'est tout à fait approprié que nous tournions cette dernière saison ici

     

    Qu'aimez-vous le plus dans le rôle de Jack Bauer?

    Il est impossible de répondre. C'est quelque chose qui a vraiment changé ma vie. J'ai une photo de ma fille quand j'ai commencé, elle a douze ans, et j'ai une photo quand j'ai fini 24 la première fois (Saison 8 en 2010), où elle est diplômée de la NYU. Les gens que j'ai rencontrés pendant la série, les gens que j'ai rencontrés dans la rue qui l’ont apprécié, toutes ces expériences ont été fantastiques. Je ne peux pas vous dire toutes les différentes raisons. Ça a été fantastique d'avoir eu cette chance.


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  • (English version below)

     

    Beaucoup d'articles sur 24 Live Another Day, j'ai choisi celui-là parce qu'il correspond à mon état d'esprit, à moi aussi Jack m'a manqué !

     

    « C'était vraiment comme revoir un vieil ami », a déclaré Gordon. « Tout le monde avait le même sourire sur le visage. Je pense que la promesse de revoir Jack est vraiment la raison principale de faire 24LAD. Je pense qu’il nous a vraiment manqué. Si vous m'aviez demandé il y a quatre ans, j'aurais parié que ce ne serait pas le cas. Jack est resté intéressant jusqu'à la fin. J'ai été très heureux de la façon dont nous avons conclu. Je pense que cela a été une façon très élégante de finir, mais il nous manquait trop »
    « on l’aime bien », a ajouté Cassar. « C'est le genre de personnage pour qui vous vous faites du souci et vous voulez qu'il connaisse un jour meilleur. Nous savons que ça ne va probablement pas arriver, mais vous êtes désireux qu'il ait un bon jour, le pauvre. »

     

    jb24lad

     

     

    «Si vous observez la trajectoire de chaque saison, il y a toujours eu un peu d'espoir au début, puis après ça va de plus en plus mal », a déclaré Sutherland. «Cette année, Jack est dur comme du fer, ne fait confiance à personne. Il ne fait pas confiance à Chloé, il a été isolé de son pays, de sa famille, il sait que s'il essaie de revenir aux États-Unis pour se justifier, ils vont le tuer. Et il est vraiment énervé. Ceux qui ont aimé la dynamique entre Jack et Chloé, ne vont pas beaucoup aimer Jack et ils ne vont pas aimer non plus certains aspects de Chloé."

     

     

     

    « Cela semble presque blasphématoire, dit de cette façon, » a expliqué Cassar, «mais Jack est malheureux. Il a été en fuite pendant quatre ans. Il est  maigre et méchant »
    « les autres années, vous savez clairement où Jack a été entre les saisons», a déclaré Gordon. «Cette année, nous l’apprenons plus lentement et d'une manière différente. Je dirais que c'est plus mythique que jamais ".

     

    « Leonard Cohen a écrit soixante et quelques versets de « Hallelujah »et il a dit qu'il va en  écrire jusqu'à sa mort », a déclaré Sutherland. « '24 'N'est pas' Hallelujah 'et je ne suis pas Leonard Cohen, mais je le comprends. Il y a une symbiose entre moi et ce personnage. Je pense que nous sommes très différents, mais il y a une connexion en quelque sorte et j’aime le jouer. Je me sens bien quand je le jouer et je sais ce que je veux faire quand je suis en train de le jouer et ça m'excite de le jouer. Je l'aime en tant qu'individu, mais j'aime aussi la bande que nous sommes en - les écrivains, les acteurs, l'équipe. Tout ça m’a manqué »

     

     

     

    24lad

     

    “It was really like seeing an old friend,” Gordon said. “Everybody had the same smile on their face. I think the promise of seeing Jack again is really the main reason for doing this. I think we all really missed him. If you had asked me four years ago, I would have bet the house that that wouldn’t be the case. But I think Jack stayed interesting until the end. I was very happy with the way we ended it. I think that would have been a very elegant way to end it but we just missed him too much.”

     

    “We care about him,” Cassar added. “He’s the kind of character you felt for and you wanted him to have a better day. I think that’s part of it too. We know he’s probably not going to have a good day but you’re wishing that he would have one good day, poor guy.”

     

    “If you take a look at the trajectory of every season, there’s always been a little bit of hope at the beginning and then it goes bad and he gets hotter and hotter as it goes,” said Sutherland, who is also an executive producer. “This year, Jack comes in hard as nails, doesn’t trust anybody. He doesn’t trust Chloe, he’s been isolated from his country, from his family, he knows if he tries to get back to the U.S. to tell his point of view, they’ll kill him. And he’s really pissed off. People who liked the dynamic between Jack and Chloe are going to find they’re not going to like Jack that much and they’re going to have parts of Chloe they’re not going to like either.”

     

    That almost seems blasphemous. “Let’s put it this way,” Cassar explained, “Jack’s an unhappy guy. He’s been on the run for four years. He’s a leaner, meaner guy.”

    “In other years, you understood front and center where Jack has been in between seasons,” Gordon said. “This year, we’re framing it differently and we learn it more slowly and in a different way than we’ve done before. I would say it’s more mythic than ever.”

     

    « Leonard Cohen has written seventy-some odd verses to ‘Hallelujah’ and he said he’ll write it ‘til the day he dies,” Sutherland said. “It’s intrinsic to him. ’24’ is not ‘Hallelujah’ and I am not Leonard Cohen, but I understood that. There’s a symbiosis between me and that character. I think we’re very different but there’s a connection somehow and I like playing him. I feel comfortable playing him and I know what I want to do when I’m playing him and the character excites me about pushing him in other places and ways. I like it as an individual but I also like the collective band that we’re in — the writers, the actors, the crew. I missed it.”

     

    source: link


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  • J'espère que c'est seulement de la promo....


     

    Letterman: 24 Live Another Day, une reprise, il y a seulement douze épisodes, c'est ça ?
    Sutherland: Oui
    Letterman: Donc, vous ne relancez pas la série exactement?
    Sutherland: Non, c'est une sorte de.. c'est une saison unique. C'est notre façon de la terminer. Les douze épisodes représentent vingt-quatre heures. C'est une version très concentrée de "24".
    Letterman: heureux d'avoir fait cela?
    Sutherland: c’était fantastique.
    Letterman: Et puis il n'y en aura plus d'autres, pas vrai? du moins à la télévision ...
    Sutherland: Oui, oui. Ça a été fantastique, je m'en voudrais si je ne vous disais pas que j'étais incroyablement nerveux. Mais une fois que nous avons commencé le tournage ça a été une expérience incroyable. Nous avons tourné en Angleterre et ça a été génial aussi.


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    Kiefer : l’impact de 24 est à différents niveaux, les meilleurs auteurs qui normalement devaient écrire pour le cinéma se sont rendus compte que la TV leur offrait de meilleures opportunités. La Tv, pour moi, est le media le plus excitant en ce moment, on y trouve les meilleurs histoires, et je dis ça en tant qu’acteurs qui joue au cinéma et à la Tv, on y tourne plus vite, de façon plus instinctive. 24 est un des aspects qui a rendu la TV si excitante et j’en suis très fier

    Cassar : On a eu la chance d’être les 1° de ce nouvel âge de la Tv. Fox a eu le courage de faire une série comme 24 c’était un concept très original, et ça continue

    Kim Raver : c’est la renaissance de la TV, avec des séries bien écrites, intelligentes, et 24 a été le catalyseur de tout ça

    Mary Lynn : 24 c’est addictif, c’est devenu un modèle

    Gordon  Jack Bauer est le symbole du monde compliqué dans lequel nous vivons. Il représente beaucoup de personnes et de choses, certaines bonnes d’autres non, mais c’est le héros américain classique. Il est ce que nous pensons qu’un héros doit être, nous espérons tous un JB qui nous protège, nous voulons tous être JB


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  •   La dernière partie parle de Jack Bauer et de l'impact de 24 sur la TV...très interessant à nouveau


     

    Gordon : 24 a été créé dans le contexte du 11/09 mais Jack Bauer est vite devenu le symbole du monde compliqué dans lequel nous vivons. Il est ce que nous pensons qu’un héros doit être, nous espérons un JB qui nous protège, c’est le héros américain classique.

    Bratt : JB est un personnage universel, c’est un homme de principes et c’est cela qui conduit ses actes

    Katz : il est devenu un héros mythique, on veut savoir ce qu'il est devenu après la fin de la saison 8, Kiefer le joue avec une telle intensité qu’on veut qu’il réussisse, qu’il soit le héros

    Kiefer : c’est comme un vieil ami, on a besoin de se revoir tous les deux

    Cassar : Fox a eu le courage de faire une série comme 24

    Kim Raver : 24 est le symbole de la façon dont on regarde désormais la TV, c’est la 1° série qui a entrainé le « binge watching » (le fait de regarder une série pendant des heures d’affilées)

    Mary Lynn : 24 c’est addictif, c’est devenu un modèle

    Kiefer : la TV est le media le plus excitant, et je fais des films et de la TV, 24 est une des causes qui a rendu la TV si excitante et j’en suis fier

    Cassar : 24 a ouvert une nouvelle aire à la TV, on a repoussé les limites et c’est toujours le cas

    Mary Lynn/Cassar : 24 parle de sujets très actuels

    Katz : certains problèmes sont devenus importants en 4 années : les drones, Wikileaks, la surveillance des gouvernements et ceux qui la dénoncent

    Devane : beaucoup d’intrigues commencent dès la 1° heure

    Katz ; on n’a pas besoin d’avoir vu la série avant de voir 24 LAD, vous pouvez prendre le train en marche

    Cassar : 24 c’est un soap opéra sous crack

    Kiefer : on tourne encore plus vite

    Cotto : 24 revient et on ne peut rien faire pour l’arrêter

     

                    Jack : « ils préparent une attaque à grande échelle »


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